Coaching personnel, coaching professionnel, coaching d’objectifs, coaching de vie…
Les formules du coaching – appelé aussi mentoring – se déclinent de toutes les manières et dans tous les domaines, et l’efficacité d’un bon accompagnement
n’est pas à tant à démontrer qu’à vivre.
Tout le problème se posant aux demandeurs de ce type de service, est cependant de trouver le(la) bon(ne) coach, c’est-à-dire la bonne personne dès le début si possible,
car la question du choix du coach est cruciale, d’autant plus que dans ce domaine – comme dans beaucoup d’autres – l’offre est pléthorique, ceci ne facilitant pas la démarche mais multipliant au contraire les risques d’erreur.
A toutes fins utiles pour cette recherche, on peut souligner qu’un(e) coach n’est ni un gourou ni un directeur de conscience.
Autrement dit, un(e) bon(ne) coach n’est en aucun cas détenteur des vérités dernières sur le monde et la vie des coachés, ou porteur de la seule bonne parole sur ces sujets.
Par suite, un(e) bon(ne) coach n’est pas non plus directif(ve) : il ne commande ni ne conseille rien aux coachés.
Son travail consiste à éclairer les faits et les situations à la lumière de ses connaissances et de son expérience, et aussi de sa personnalité.
C’est pourquoi un coaching est une co-construction de sens dans le plein sens du terme, coach et coaché(e) ayant chacun un rôle déterminant dans le travail réalisé.
Autrement dit, si le(la) coach utilise des connaissances pour éclairer les problématiques abordées, la transmission et l’appropriation de ces connaissances par le(la coaché(e)
ne peut pas avoir lieu sans l’adhésion et l’accord de celui(celle)-ci.
Un bon coaching est ainsi un partenariat dans lequel les propositions du coach sont suggérées et soumises à l’appréciation du(de la) coaché(e), et non pas imposées d’une quelconque manière.
Autrement dit, le(la) coaché(e) doit se sentir parfaitement à l’aise avec le travail réalisé, dans la mesure où il comporte uniquement le cas échéant, des contraintes librement acceptées et choisies de manière concertée.
Dans ces conditions où l’éthique relationnelle est au premier plan, quels que soient les projets accompagnés, un coaching augmente significativement leurs chances d’aboutir, le reste étant aussi affaire de connaissances et de compétences du(de la) coach.
C’est pourquoi encore une fois, le choix du(de la) coach est déterminant et les critères de ce choix nécessitent la plus grande attention des candidat(e)s à un coaching dès le départ.
Quand toutes ces conditions sont remplies, un coaching permet dans tous les cas,de développer les capacités relationnelles et comportementales des coachés, en vue d’atteindre leurs objectifs personnels et professionnels.
Les coachés tirent ainsi un important bénéfice du travail effectué.
